Né en 1987, Virgile Monin effectue ses études musicales au conservatoire de Nantes, où il obtient les premiers prix d’orgue (dans la classe de Michel Bourcier), d’écriture et d’analyse. Il étudie aussi l’improvisation, dans la classe de Pierre Pincemaille, au conservatoire de Saint-Maur-des-Fossés, où il reçoit également un premier prix. Il bénéficie par ailleurs des conseils de Jean Guillou, Thierry Escaich et Henri-Franck Beaupérin.

Virgile Monin est actuellement étudiant au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, en classe d’écriture.

En 2011, il remporte le Grand Prix d’Orgue Jean-Louis Florentz de l’Académie des Beaux-Arts (Institut de France), puis le Premier Prix d’Interprétation du Concours International d’Orgue du Luxembourg et enfin, au Concours International d’Orgue de Biarritz, le Premier Prix d’Interprétation (Grand Prix André Marchal), ainsi que le Prix du Public.

Il obtient par ailleurs une licence de musicologie à la faculté de Rennes 2, et signe différents mémoires, traitant notamment des travaux de Marcel Dupré en matière de facture d’orgues, mais aussi du Poème pour piano et cordes de Gabriel Dupont (1878-1914).

Virgile Monin se produit régulièrement en concert, tant en France qu’à l’étranger (Canada).

Virgile MONIN – Chartres 2012

http://www.virgilemonin.com/

Hans-Dieter Möller, est né en 1939 à Duisburg.

Études de musique sacrée, de composition et d’orgue à la Folkwang-Hochschule d’Essen. 1966 : études d’improvisation à Paris auprès de Jean Langlais .

1977 : nommé professeur d’orgue (interprétation et improvisation), à la Robert-Schumann-Hochschule Düsseldorf. Depuis 1986, il est expert chargé des orgues de l’archidiocèse de Cologne.

Donnant concerts et Master-Class dans la plupart des pays d’Europe et en Amérique du Nord, il est également jury lors de concours nationaux et internationaux (Grand Prix de Chartres 1976, Berlin Mendelssohn, etc…).

http://de.wikipedia.org/wiki/Hans-Dieter_M%C3%B6ller

Né à Cordoba (Argentine) en 1930, il fait ses études musicales – piano, harmonie, contrepoint et composition – dans sa ville natale, et s’oriente très tôt vers la musique sacrée. C’est sur un orgue colonial du XVIIIème siècle restauré par lui qu’il donne, en 1947, son premier concert public, suivi d’autres présentations en Argentine et en Uruguay.

Boursier du gouvernement français, il s’établit à Paris en 1952, où il étudie sous la direction de deux grands maîtres de l’école française d’orgue : André Marchal et Édouard Souberbielle. Dans la classe de ce dernier, il obtient le diplôme supérieur d’orgue -interprétation et improvisation- de l’Institut Supérieur de l’Université Catholique de Paris. Parallèlement, il suit les cours de l’Institut de Musicologie de la Sorbonne, et il en sort diplômé en 1956.

Il est Maître de Chapelle et titulaire des grandes orgues de l’église Saint Germain l’Auxerrois de Paris depuis 1959, date qui marque le début de sa carrière d’interprète dans de nombreux centres musicaux de France, Allemagne, Italie, Espagne, Canada, USA, Thaïlande et Philippines.

Cependant, les activités de Ricardo Miravet ne se limitent pas à son rôle d’organiste : en tant que musicologue, il continue ses recherches sur les maîtres espagnols du XVIe et XVIIe siècles – auxquels il consacre toujours une partie de ses programmes -, et poursuit la rédaction d’un ouvrage sur l’histoire de la facture d’orgue en Espagne. Bien que s’identifiant particulièrement avec le siècle d’or espagnol et la musique française romantique et moderne, le répertoire de Ricardo Miravet comprend des auteurs de toutes les périodes de la littérature organistique pour orgue seul, ainsi que des concerti pour orgue et orchestre.

En outre, il dirige des chorales et des ensembles instrumentaux avec lesquels il approfondit le répertoire de la musique espagnole du siècle d’or, et les œuvres anciennes et contemporaines d’Amérique Latine. Ses interprétations de la Misa Criolla d’Ariel Ramirez et, en première audition européenne, de la Messe en Fa de Domenico Zipoli (écrite en Argentine vers 1720) ont été saluées par la critique.

Partagé entre la France et l’Espagne, il est depuis 1982 le directeur artistique et le principal animateur du Festival de Música de Morelia (Castellón), qui a lieu pendant le mois d’août et qui réunit les expressions musicales les plus variées.

Depuis 1979, il est régulièrement invité par l’Université de San Juan (Argentine), où il donne des cours de perfectionnement aux plus talentueux jeunes organistes du pays.

http://es.wikipedia.org/wiki/Ricardo_Miravet_Toutain

Benoît Mernier est né en Belgique en 1964. C’est par l’orgue qu’il aborde la musique avec Firmin Decerf pour étudier ensuite au Conservatoire Royal de Liège où il a remporté de nombreux Premiers Prix et le Diplôme Supérieur d’orgue dans la classe de Jean Ferrard dont il fut l’assistant pendant plusieurs années aux Conservatoires de Liège et de Bruxelles. Il s’est ensuite perfectionné pendant deux ans avec Jean Boyer.

Il découvre la musique d’aujourd’hui à Liège, au contact de Claude Ledoux, Henri Pousseur, Bernard Foccroulle, Célestin Deliège et Philippe Boesmans avec qui il travaille ensuite la composition.
Benoît Mernier consacre une partie de son temps à l’orgue en tant qu’interprète et pédagogue. Il se produit comme soliste en Belgique et à l’étranger (en Europe, au Canada ou au Japon). Il a enregistré plusieurs disques dont l’un s’est vu décerner le Grand Prix de l’Académie du disque Charles Cros.

Jouées et souvent créées dans le cadre de festivals tels que Ars Musica, Présences, Wien Modern, Gaudeamus, World Music Days (ISCM), Prague Premieres, ses œuvres sont interprétées par des musiciens et ensembles réputés : Michaël Schönwandt, Pascal Rophé, Bertrand de Billy, Pierre Bartholomée, Ronald Zollman, Patrick Davin, Lorraine Vaillancourt, Georges-Elie Octors, Jonas Alber, le Quatuor Arditti, l’Ensemble Modern, le Nouvel Ensemble Moderne, le Quatuor Danel, le Trio Medicis, le Trio Fibonacci ; les ensembles Oxalys, Ictus, Musiques Nouvelles, le Chœur de Chambre de Namur, l’Orchestre du Théâtre Royal de la Monnaie, l’Orchestre Philharmonique de Liège, l’Orchestre National de Belgique, l’Orchestre Philharmonique de Radio-France, l’Orchestre Philharmonique de la Radio de Vienne,…

Plusieurs de ses œuvres ont été récompensées par des prix en Belgique et à l’étranger : Artifices pour orgue en 1990 à « La Tribune Internationale des Compositeurs » patronnée par l’UNESCO ; Blake Songs pour voix et orchestre de chambre par l’Académie Royale de Belgique en 1995. Son Quintette avec clarinette a reçu en 1999 le Prix Paul Gilson de la Communauté des Radios Publiques de Langue Française. Ses Cinq Inventions pour orgue ont été sélectionnées par la ISCM pour l’édition 2003 de son festival.

Durant la saison 2002-2003, Benoît Mernier était « compositeur en résidence » au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles et au festival autrichien Carinthischer Sommer 2004. Le Concours International Reine Elisabeth lui a commandé l’œuvre imposée pour la session chant en 2004. Il a été invité d’honneur au Festival de Wallonie en 2008 où a été interprété son Concerto pour piano par Cédric Tiberghien et l’Orchestre Philharmonique de Liège Wallonie-Bruxelles sous la direction de Pascal Rophé.

Son premier opéra « Frühlings Erwachen » d’après F. Wedekind sur un livret de Jacques De Decker, lui a été commandé par le Théâtre de la Monnaie à Bruxelles et y a été créé en mars 2007. Une reprise en création française a eu lieu à l’Opéra du Rhin en septembre 2008.
Cyprès a publié plusieurs disques consacrés à ses œuvres dont un coffret CD/DVD de son opéra récompensé par un Diapason d’or.
Un livre publié chez Mardaga lui a été consacré (« L’Éveil du Printemps, naissance d’un opéra »).

Benoît Mernier vit et travaille à Bruxelles. Il est titulaire de l’orgue de l’église au Sablon à Bruxelles et professeur d’orgue, d’improvisation et d’analyse musicale à l’Institut supérieur de Musique et de Pédagogie (IMEP) à Namur.
Depuis 2007, il est membre de l’Académie Royale de Belgique (Classe des Beaux-Arts).

http://www.compositeurs.be/fr/compositeurs/Benoit_Mernier/28/

Née en 1962, Pascale MÉLIS commence le piano à l’âge de six ans et l’orgue à onze. Co-titulaire dès 1974 de l’orgue Cavaillé-Coll de l’église Saint Charles à Marseille, elle entre au Conservatoire National de Région de cette ville dans la classe de Marie Louise Jaquet-Langlais. En 1979 une médaille d’or lui est décernée et elle remporte cette même année le Prix Bach et le deuxième prix au Concours International d’Orgue de Wiesbaden en Allemagne.

Élève de Jean Langlais à Paris, elle poursuit ses études d’orgue et d’écriture au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans les classes de Rolande Falcinelli, Roger Boutry, Jean-Claude Henry et Michel Merlet. Elle y obtient les premiers prix d’orgue et d’harmonie. Parallèlement elle suit des master classes avec Marie-Claire Alain, Lionel Rogg et Guy Bovet.

Lauréate de prestigieux concours internationaux (Chartres, Odense, Wiesbaden), successivement professeur d’orgue aux CNR de Nantes et Courbevoie-Île de France, elle est depuis 1981 organiste titulaire de l’orgue de l’église St Clodoald à Saint-Cloud, ses prédécesseurs ayant pour nom Charles Gounod, Henry Büsser et Gaston Litaize.
C’est à son initiative que l’Association des Amis du Grand-Orgue de cette église a retrouvé un nouveau souffle et a pu confier à Pascal Quoirin les travaux de reconstruction de l’instrument en place, inauguré en  2006.

Investie dans  l’ensemble du répertoire de la Renaissance à nos jours, sa discographie en fait foi, elle marque un intérêt particulier pour la pédagogie de l’instrument, menant parallèlement à ses activités d’organiste liturgique une carrière de concertiste tant en France qu’à l’étranger.

Elle enregistre en première mondiale le Requiem de Gounod avec l’Orchestre Bernard Thomas et la Maîtrise des Hauts-de-Seine – Chœur d’Enfants de l’Opéra National de Paris. Son intégrale haute en couleurs des quatre Suites de Noëls de C. B. Balbastre sur l’orgue historique de la Basilique St Nazaire-St Celse de Carcassonne est remarquée par la presse musicale et lui vaut d’être récompensée par cinq Diapasons. Elle a également enregistré à Saint Cloud le Requiem de Saint-Saëns avec le Madrigal de Paris et les trois grandes pièces pour orgue de Franz Liszt (à paraître prochainement).

Pascale MELIS – Chartres 2007

Parallèlement à ses études universitaires, Maurice MEHL s’est consacré à l’étude de l’orgue au Conservatoire de Nancy. Il s’est ensuite perfectionné à Genève auprès de Pierre Segond dont le riche enseignement a très profondément influencé son interprétation.

Maurice Mehl a donné de nombreux concerts à Paris (Cathédrale Notre-Dame, Églises Saint Thomas d’Aquin, Saint Jacques du Haut Pas, Couvent de l’Annonciation, Notre-Dame des Blancs-Manteaux), Versailles (Sainte Geneviève), Genève (Cathédrale Saint Pierre), Bâle (Église Saint Léonhardt), Mende (Cathédrale) Langres (Cathédrale).
Il a participé comme organiste à différents festivals : Saint Donat, Festival des Sources, Heures musicales de Lessay, Festival de Lombardie et s’est fait entendre sur les antennes de France-Musique et de Fréquence Protestante.

Connu pour les articles que durant des années il a publiés dans des magazines musicaux tels que «Harmonie», «La Revue du Son» et «Diapason», Maurice Mehl se consacre aujourd’hui exclusivement à l’interprétation et à la musicologie.

Son répertoire privilégie la littérature allemande, de la Renaissance au Romantisme, avec une place de choix pour J. S. Bach, ses précurseurs et ses élèves.

Maurice MEHL – Chartres 2008

Bruno Mathieu (23 mars 1958) est un organiste d’origine française.

Il a étudié l’orgue auprès de Jean Langlais, Suzanne Chaisemartin, Jean Guillou et Marie-Claire Alain, l’écriture avec Pierre Lantier, et le piano avec France Clidat et Gisèle Kühn. Il est organiste titulaire à l’église Saint-Justin de Levallois-Perret.

À ce jour il a donné plus de trois cent récitals au Canada et en Europe. Il intervient plus particulièrement sur Paris où il s’exécute aux grandes orgues de la cathédrale Notre-Dame et des églises Saint Sulpice, Saint Germain des Prés ainsi qu’à La Madeleine.
Bruno Mathieu enseigne l’orgue au Conservatoire de Paris XXe.

Bruno Mathieu a donné plus de trois cents concerts en Europe, au Canada et à Paris à Notre-Dame, et dans les églises de la Madeleine et de Saint-Germain-des-Prés. Il a enregistré plusieurs œuvres de J.S. Bach dont les sonates en trio, des symphonies de Louis Vierne, des pièces diverses de Jean Langlais, Marcel Dupré et Olivier Messiaen. Bruno Mathieu, compositeur, a publié plusieurs œuvres dont un Te Deum qui a été créé à Notre-Dame de Paris en décembre 2000. Il enseigne actuellement au Conservatoire du 20e arrondissement de Paris.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bruno_Mathieu

Marilyn Mason est organiste, professeur de musique, et président du Département d’orgue de l’Université du Michigan à Ann Arbor. Son affiliation avec le Michigan a commencé en 1944 quand elle a commencé ses études de premier cycle avec Palmer Christian. À l’exception d’une année passée en France, où elle a étudié avec Nadia Boulanger (analyse) et Maurice Duruflé (orgue) et du temps passé à obtenir son doctorat en musique sacrée à l’Union Theological Seminary de New York, elle a passé toute sa carrière dans Ann Arbor.

Elle a reçu la Médaille Stanley, la plus haute distinction décernée à tout musical majeur. Plus tard, dans sa carrière d’enseignante, ses collègues lui ont décerné le « Distinguished Faculty Award », et la « Citation of Merit ». Pendant son séjour au Michigan, elle a régulièrement donné des conférences sur la musique d’orgue, dirigé des visites d’orgues à l’étranger pour voir et entendre des orgues historiques. ‘L’orgue Marilyn Mason’ a été installé dans une salle de récital spécialement construite. Cet orgue, construit par CB Fisk, est une réplique dans l’esprit des instruments du facteur d’orgues du 18ème siècle, Gottfried Silbermann.

Marilyn Mason a joué sur tous les continents. Première femme américaine à jouer dans l’abbaye de Westminster, première femme à jouer en Amérique latine, et le premier Américain à jouer en Égypte. Elle a siégé comme jury de presque tous les concours d’orgue majeurs dans le monde (Grand Prix de Chartres 1974). Son dévouement à la musique d’orgue moderne est attesté par les noms des grands compositeurs qui ont écrit pour elle : Albright, Bolcom, Cook, Cowell, Creston, Diemer, Haines, Jackson, David Johnson, Jordan, Krenek, Langlais, Lockwood, Near, Persichetti , Sowerby, Wyton, et Young.

Marilyn Mason a enregistré l’intégrale des œuvres de Johann Pachelbel pour le Musical Heritage Society. En 1987, elle a obtenu le degré de docteur musique honoris causa de l’Université du Nebraska.

http://en.wikipedia.org/wiki/Marilyn_Mason

Bernhard MARX est né en 1949.
Après de solides études en Allemagne avec le Professeur Ludwig DOERR, c’est en France qu’il reçoit l’enseignement de Marie-Claire ALAIN et de Gaston LITAIZE.
Il suit parallèlement les Master-Classes de Anton HEILLER à Vienne et de Luigi Ferdinando TAGLIAVINI à Bologne.

Lauréat de plusieurs Concours Internationaux Bruges, Sarrebruck… Bernhard MARX se voit nommer en 1972, organiste de la Johanneskirche à Freiburg-im-Bresgau, et professeur d’orgue à l’Académie de Musique de cette ville avant d’occuper conjointement à partir de 1979 le même poste au Conservatoire de Musique Sacrée de Rottenburg.

Bernhard MARX est en outre expert d’orgue de l’Archidiocèse de Freiburg-im-Bresgau.

Il se produit régulièrement en concert dans toute l’Europe : Allemagne, Autriche, Suisse, Grande-Bretagne, France, Italie, Espagne, Belgique, Pays-Bas… ainsi qu’aux États-Unis et au Canada.

Bernhard MARX a réalisé plusieurs enregistrements pour la radio, la télévision et le disque.

http://trinitycollegechapel.com/services/organ-music-evensong/bernhard-marx/

Originaire de la Caroline du Nord, Kimberly Marshall fit ses premières études d’orgue sous le direction de John Mueller et Fermer Douglass avant de se rendre en France en 1979, pour continuer sa formation au Conservatoire de Lyon avec Louis Robilliard. Elle y gagna la Médaille d’Or à l’unanimité du jury, et deux ans plus tard, remporta le Premier Prix d’Orgue dans la classe de Xavier Darasse au Conservatoire de Toulouse. Parmi les enregistrements qu’elle fit pour Radio France, elle réalisa la première interprétation d’Organum III, composition de Darasse.

En 1982 Kimberly Marshall obtint une bourse à University College, Oxford, où elle fit des recherches dans le domaine des techniques historiques du clavier, publiant plusieurs articles dans les revues spécialisées et une thèse de doctorat ayant pour sujet l’orgue à la fin du Moyen-Âge.

Avant tout concertiste, elle a donné des récitals dans bien des lieux aux États-Unis et en Europe, entre autre : Washington National Cathedral ; Notre-Dame de Paris ; St-Paul’s Cathedral, Londres ; la Dormition Abbey, Jerusalem. En France, elle a joué sur des instruments historiques, notamment l’orgue des Couperin à Saint-Gervais.

En 1983, Kimberly fut reconnue par un jury international qui lui décerna le Premier Prix du Concours de St-Albans, Prix de réputation mondiale, lui préparant un avenir illustre.

http://www.kimberlymarshall.com/